Stress et hormones féminines : quels impacts ?

Juil 2, 2024

L’équilibre hormonal féminin est facilement perturbé, que ce soit par des facteurs internes ou par des interactions extérieures. Pour être équilibrées, les hormones doivent interagir ensemble de manière complexe et intelligente. Que ce soit les œstrogènes, la progestérone, la testostérone ou encore la FSH et la LH, les hormones jouent un rôle crucial dans le cycle menstruel. L’alimentation, le mode de vie, la digestion, mais aussi et surtout le stress affectent les hormones féminines et provoquent des perturbations sur la santé.

Dans cet article, nous explorerons les processus clés de l’équilibre hormonal féminin et l’impact des principales hormones sur la santé. Je t’explique également en quoi le stress est source de déséquilibre et enfin, je te donne mes conseils qui t’aideront à améliorer ta santé et ton équilibre hormonal

Tu peux également écouter l’épisode de podcast si tu préfères :

Processus clés de l’équilibre hormonal féminin

 

L’équilibre hormonal chez la femme est le résultat d’une interaction complexe entre plusieurs hormones essentielles. Parmi elles, on retrouve : 

  • les œstrogènes ;
  • la progestérone ;
  • la testostérone ;
  • les hormones folliculo-stimulante (FSH) ;
  • les hormones lutéinisante (LH).

Le cycle menstruel : une symphonie hormonale

 Le cycle est divisé en plusieurs phases. Chacune est régie par des variations spécifiques des niveaux hormonaux.

1. La phase menstruelle

Elle marque le début du cycle. S’il n’y a pas de fécondation, alors les niveaux de progestérone et d’œstrogène chutent. Cela entraîne l’élimination de l’endomètre et marque le début des règles. 

2. La phase folliculaire

Elle commence le premier jour des règles et se termine à l’ovulation. L’hormone FSH stimule la maturation des follicules ovariens qui produisent de l’œstrogène. Cette dernière épaissit la muqueuse utérine en prévision d’une possible grossesse.

3. L’ovulation

La montée de l’hormone LH provoque la libération d’un ovule par le follicule mature. 

La phase lutéale

Après l’ovulation, le follicule vide se transforme en un corps jaune. Il sécrète de la progestérone. Cette hormone maintient l’endomètre et prépare l’utérus pour une éventuelle implantation. Elle est sécrétée en quantité pour maintenir une éventuelle grossesse qui aurait démarré.

L’importance des hormones féminines pour la santé

Biologiquement, le cycle menstruel existe pour permettre la procréation. Néanmoins, son équilibre a un impact considérable sur la santé de la femme. Je t’explique tout de suite le rôle des principales hormones féminines. 

1. Les œstrogènes

Produits principalement par les ovaires, mais aussi par le tissu adipeux et les glandes surrénales, les œstrogènes impactent notre corps. 

  • Ils assurent la formation des caractéristiques sexuelles secondaires qui arrivent après la puberté. 
  • Ils favorisent la cicatrisation des tissus et maintiennent l’élasticité et l’hydratation de la peau et des muqueuses. 
  • Ils stimulent la densité osseuse, activent le système immunitaire et ont un rôle antiseptique urinaire. 
  • Ils diminuent le risque de la maladie d’Alzheimer. 

 

Quels sont les effets en cas de production excessive d’œstrogènes ? 
  • Pendant la grossesse, cela va entraîner une production de nouvelles cellules et augmenter la laxité des ligaments pour permettre le passage du bébé dans le bassin.  
  • S’il n’y a pas de grossesse : 
    • apparition d’un fibrome ou d’un kyste, 
    • des règles abondantes, longues et douloureuses, 
    • la présence du syndrome prémenstruel (SPM), 
    • la chute de cheveux, 
    • l’endométriose, 
    • la rétention d’eau, 
    • la prise de poids, 
    • des nausées, 
    • des migraines, 
    • des varices, 
    • des hémorroïdes.  
Quels sont les effets si la production d’œstrogènes est trop faible ? 
  • la peau et les muqueuses sont sèches, 
  • les seins s’affaissent, 
  • la période des règles est courte (environ 3 jours), 
  • le flux est léger,
  • chute de cheveux, 
  • fatigue, 
  • la libido faible, 
  • une dépression, 
  • des bouffées de chaleur, 
  • la concentration est faible, 
  • migraine pendant les règles. 

 

2. La progestérone

Cette hormone est fabriquée par le corps jaune. Elle ne peut être présente uniquement si une bonne ovulation a eu lieu. 

Quels sont les bienfaits de la progestérone ? 
  • action anxiolytique et antidépresseur,
  • protection cardiovasculaire, 
  • prévention contre le cancer du sein et de l’endomètre, 
  • stimulation de la thyroïde, 
  • stimulation des tissus osseux,
  • action diurétique.  

L’excès de progestérone est rare. Il peut être causé suite à la prise de médicaments substitutifs lors des traitements de fertilité ou encore à la ménopause.

Quels sont les symptômes d’un manque de progestérone ? 
  • la phase lutéale inférieure à 11 jours et un cycle menstruel de moins de 28 jours,
  • irritabilité et anxiété avant les règles,
  • présence de glaire cervicale durant la phase lutéale, 
  • spotting avant les règles (tâches ou saignement en dehors des règles),
  • seins douloureux avant les règles,
  • fausses couches au premier trimestre de grossesse, 
  • infertilité. 
  • insomnie,
  • acné,
  • ballonnements et gaz,
  • rétention d’eau.

 

3. Les hormones FSH et LH

Produite par l’hypophyse, la FSH (hormone folliculo-stimulante) agit sur les ovaires et stimule la croissance des follicules ovariens avant l’ovulation. Cette hormone est soumise à un rétrocontrôle. Il peut être négatif ou positif selon le moment du cycle, qu’il soit régi par les œstrogènes ou par la progestérone.  

  • Au début du cycle, c’est la croissance des follicules. Les œstrogènes à faible dose induisent un rétrocontrôle négatif sur l’hypophyse.  
  • À l’approche de l’ovulation, le taux d’œstrogènes augmente et dépasse un certain seuil. C’est alors une rétroaction positive sur l’axe hypothalamo-hypophysaire. Les œstrogènes accroissent les productions de FSH et de LH.  

La LH (hormone lutéinisante) déclenche l’ovulation et stimule ensuite le corps jaune pour produire de la progestérone. C’est cette dernière qui va avoir un effet de rétrocontrôle négatif pour conserver des niveaux bas de FSH jusqu’à la fin du cycle. S’il n’y a pas de début de grossesse, le taux de progestérone et d’œstrogènes baisse, la FSH augmente et les règles se déclenchent. Le cycle recommence. 

Si la FSH est très élevée en début de cycle, cela marque le début de la ménopause. 

4. La testostérone

Souvent associée aux hommes, la testostérone est aussi présente chez les femmes. Elle contribue à la libido, la production de globules rouges et au maintien de la masse musculaire et osseuse. Elle produit des œstrogènes secondaires par les tissus périphériques tels que les graisses ou la peau, notamment à la ménopause. 

Quelles sont les causes courantes d’un déséquilibre hormonal ?  

Les déséquilibres hormonaux peuvent perturber la santé féminine, causant divers symptômes significatifs. Examinons les déséquilibres hormonaux les plus fréquents, leurs symptômes et leurs impacts sur la santé globale.

Le syndrome prémenstruel

Le syndrome prémenstruel (SPM) est un ensemble de symptômes physiques et émotionnels gênants qui surviennent une à deux semaines avant les règles. 

Quels sont les symptômes ? 

Il existe plus de 150 symptômes répertoriés. Voici les plus courants.  

  • Des symptômes émotionnels : humeur changeante, irritabilité, anxiété, crise de peur, difficulté à se concentrer, dépression, sensation d’abattement.
  • Fatigue intense,
  • Troubles du sommeil : insomnie, hypersomnie,
  • Maux de tête, migraines,
  • Fringales pour des aliments sucrés, salés, gras,
  • Crampes abdominales, seins sensibles,
  • Douleurs musculaires, en particulier en bas du dos,
  • Problèmes digestifs : constipation, diarrhées, alternance des deux,
  • Cystites, mycoses, 
  • Rétention d’eau : bas ventre, seins gonflés, jambes lourdes, prise de poids,
  • Poussée d’acné. 

Quelles sont les causes potentielles du SPM ? 
  • Un déséquilibre hormonal : une hyperœstrogénie (trop d’œstrogènes) et une hypoprogestéronémie (pas assez de progestérone).
  • Le niveau d’œstrogènes dépend de la manière dont il est métabolisé et éliminé dans le corps. Le foie fait principalement ce travail. 
  • Le système hormonal lie plusieurs hormones entre elles. Par exemple, la glande thyroïde peut fonctionner lentement, ou encore le niveau de cortisol dans les glandes surrénales peut être trop élevé. 
  • Il y a aussi les inflammations, les allergies, la glycémie, le manque d’omégas 3, de magnésium, de vitamines B6 ou encore le stress. 

 

Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK)

 Le SOPK est l’un des déséquilibres hormonaux le plus courant chez la femme en âge de procréer. 

Quels sont les symptômes ? 
  • L’anovulation, la dysovulation ou l’aménorrhée. Ces symptômes se traduisent par des cycles irréguliers, longs ou complétement absents. Cela impacte la fertilité. 
  • L’hyper-androgénie ou sensibilité aux hormones androgènes : hyperpilosité (hirsutisme), acné, chute de cheveux (alopécie). 
  • La présence d’ovaires polykystiques : petits kystes liquides sur les ovaires. 

 Il existe plusieurs types de SOPK. Quels sont-ils ?  

  • Type I SOPK résistant à l’insuline : prise de poids, anovulation et cycles irréguliers, infertilité, hirsutisme, acné, prédisposition au diabète. 
  • Type II SOPK non résistant à l’insuline : les ovaires présentent plusieurs follicules non développés à l’échographie, la testostérone sera normale ou haute et pas nécessairement embonpoint. 

Quelles sont les causes du SOPK ? 
  • inflammation perméable intestinale d’origine auto-immune ;
  • problème de thyroïde ;
  • déficience nutritionnelle, notamment au zinc et à l’iode ;
  • intolérance au gluten ou à la caséine (protéine issue du lait) ;
  • surexposition aux toxines ;
  • déséquilibre des hormones sexuelles (androgènes élevés) ;
  • insulinorésistance (résistance à l’insuline) ;
  • prédisposition génétique.

L’endométriose

 L’endométriose est une maladie où le tissu semblable à l’endomètre se développe en dehors de l’utérus.

Quels sont les symptômes ? 
  • douleurs pelviennes sévères ;
  • règles abondantes et douloureuses ;
  • douleurs pendant les rapports sexuels ;
  • troubles digestifs ;
  • infertilité dans certains cas. 
Quelles sont les causes ? 
  • facteurs génétiques ;
  • anomalies du système immunitaire ;
  • rétrogradation menstruelle.
Quel est l’impact sur la santé ? 
  • impact significatif sur la qualité de vie ;
  • risque accru de certains cancers ;
  • problèmes gastro-intestinaux et urinaires.

La ménopause 

La ménopause n’est pas un déséquilibre, c’est un processus normal de l’organisme, sauf lorsqu’elle est précoce. Elle se produit lorsque la fonction ovarienne diminue. 

Quels sont les symptômes ? 
  • des cycles menstruels irréguliers ou absents ;
  • des bouffées de chaleur ;
  • des sautes d’humeur ;
  • une sécheresse vaginale.
Quelles sont les principales causes ? 
  • prédisposition génétique ;
  • des maladies auto-immunes ;
  • des traitements médicaux, comme la chimiothérapie. 
Quel est l’impact sur la santé ? 
  • un risque accru de maladies cardiovasculaires ;
  • l’ostéoporose ;
  • un risque accru de dépression.

Les facteurs impactant l’équilibre hormonal 

L’équilibre hormonal féminin est affecté par de nombreux facteurs externes et internes. 

Les facteurs externes

L’alimentation 

Manger trop peu, manquer de protéines et de bonnes graisses, ou pratiquer le jeûne intermittent peut perturber l’équilibre hormonal, tout comme le surpoids.  

Une alimentation adéquate est essentielle pour la production hormonale. Elle doit aussi répondre aux besoins énergétiques du corps, car beaucoup de femmes ne consomment pas assez par rapport à leurs dépenses énergétiques. Maintenir une glycémie stable est important, notamment pour le SOPK et la déficience en progestérone.  

De plus, les aliments riches en phyto-œstrogènes peuvent compenser une carence en œstrogènes ou aggraver une hyper-œstrogénie.

L’exercice physique

Un sport trop intense est aussi nuisible que la sédentarité pour l’équilibre hormonal. Les activités sportives excessives augmentent la production de cortisol, ce qui nuit à la production hormonale.

 Une activité physique régulière et modérée est idéale pour maintenir l’équilibre hormonal. Elle aide à réduire le stress, régule le système endocrinien, soutient le système nerveux et améliore la qualité de vie.

Les perturbateurs endocriniens

Les xéno-œstrogènes se fixent sur les récepteurs d’œstrogènes et imitent nos hormones naturelles, bloquant ainsi leur accès et perturbant la production hormonale. Ils peuvent dérégler le cycle hormonal, augmenter le risque de cancer et causer divers problèmes de santé chez les femmes et leurs descendants.  

On les trouve principalement dans l’eau du robinet non filtrée, les produits cosmétiques, les emballages, l’équipement de bureau, les peintures, etc.

Le stress

Le stress chronique peut perturber l’équilibre hormonal en augmentant les niveaux de cortisol. Cela interfère avec la production des hormones sexuelles. 

Les facteurs internes

La fonction hépato-biliaire et microbiote intestinale

Notre foie métabolise et élimine les hormones sexuelles, qui sont ensuite envoyées dans l’intestin. Une partie de la flore intestinale, appelée estrobolome, peut métaboliser et parfois réactiver les œstrogènes excédentaires. Une surpopulation de ces bactéries peut entraîner des niveaux excessifs d’œstrogènes actifs, contribuant à des dérèglements comme l’endométriose, le SOPK ou le SPM.  

La santé intestinale joue un rôle crucial dans la régulation hormonale grâce à l’absorption des nutriments nécessaires à la production des hormones.

Le manque de sommeil

La femme a des besoins accrus en sommeil en raison de la complexité de son cycle hormonal. Les glandes surrénales, qui fournissent notre énergie, sont sensibles au manque de sommeil. Ce dernier crée du stress et augmente la production de cortisol, ce qui a des impacts négatifs sur l’équilibre hormonal.

Les glandes endocrines

Les glandes comme la thyroïde, les surrénales et le pancréas interagissent avec les hormones sexuelles pour maintenir l’équilibre général du corps. Un dysfonctionnement de ces glandes peut fortement perturber l’équilibre hormonal.

L’impact du stress sur les hormones féminines

Sur l’axe hypothalamus-hypophyse-ovaire

L’hypothalamus, situé au cœur de notre cerveau, orchestre le système endocrinien. Il contrôle l’hypophyse et régule le fonctionnement des ovaires à l’aide des hormones FSH et LH. 

 Que peut provoquer un stress chronique ?  

  • un retard de l’ovulation, prolongeant ainsi la phase folliculaire ;
  • une ovulation de moins bonne qualité, entraînant une production réduite de progestérone ;
  • une absence d’ovulation, et donc une absence totale de production de progestérone. 

 

Sur les niveaux d’hormones

Les glandes surrénales sont productives des hormones du stress, mais aussi d’autres substances à l’origine de la progestérone et de la testostérone. Cette dernière étant elle-même à l’origine des œstrogènes.  

Lorsque le corps humain se retrouve face à une situation stressante, le mode sympathique du système nerveux autonome s’active. Il entraîne ainsi la production de certaines hormones issues des glandes surrénales situées au-dessus des reins. C’est le fameux mode survie ou de combat-fuite. 

Si la situation stressante s’arrête, ou si tu trouves des ressources pour y faire face, ce mécanisme s’arrête également. En revanche, en cas de stress chronique, tes glandes surrénales doivent fournir un surplus de cortisol pour permettre à ton corps de survivre. Le niveau élevé de cortisol est donc maintenu. 

Le cortisol et les hormones sexuelles, notamment la progestérone, sont produits à partir du même précurseur : la prégnénolone. La quantité de ce précurseur n’étant pas infinie, le corps privilégie logiquement la sécrétion de cortisol (pour la survie), au détriment de celle de la progestérone. 

Les niveaux d’œstrogènes et de progestérone produits par les glandes surrénales sont faibles comparés à ceux synthétisés par les ovaires. Cependant, ils influencent tout de même l’équilibre hormonal féminin. Un état de stress chronique va jouer indirectement sur la production d’œstrogènes et de progestérone et va contribuer ainsi à un déséquilibre hormonal. 

 

Sur l’inflammation

Parmi les cibles de l’adrénaline et du cortisol, on trouve également les cellules du système immunitaire qui possèdent des récepteurs pour ces molécules.  

Le stress chronique contribue à une hausse des cytokines pro-inflammatoires. Ces dernières perturbent la communication hormonale et interfèrent également avec la détoxification des œstrogènes.

Augmentation de l’insuline

Le cortisol est une hormone hyperglycémiante. S’il est produit en excès, il conduit ton corps à sécréter plus d’insuline pour maintenir un niveau de glycémie normal.  

Les ovaires ont également des récepteurs à l’insuline. S’il y en a trop, les ovaires vont être sursollicités et vont produire ainsi un surplus d’œstrogènes ou de testostérone. Il y a donc un risque de SOPK. 

Mes conseils pour gérer le stress et améliorer ton équilibre hormonal

Un stress chronique a des conséquences directes sur la régularité de ton cycle. Tu peux ressentir des SPM, comme des douleurs de règles plus intenses, une augmentation des cytokines inflammatoires, ou encore des fringales justifiées par le manque de progestérone. De plus, la fertilité peut être fortement perturbée.  

Voici quelques conseils que tu peux mettre en place pour améliorer ton équilibre hormonal.  

  • Éloigner les perturbateurs endocriniens : bien choisir tes ustensiles de cuisines, tes cosmétiques, filtrer l’eau, etc. 

 

  • Bien dormir. 
  • Bouger tous les jours : exercer une activité régulière modérée. Il est important d’adapter l’activité sportive en fonction de ton niveau de stress, tu peux te référer à l’article : Quel sport choisir pour réduire le stress?
  • Manger équilibré : ne pas manger trop, ni trop peu, avec suffisamment de bonnes graisses. Éviter le mauvais gras et stabiliser la glycémie. L’idéal est de se faire accompagner par un professionnel pour adapter son alimentation et améliorer ton équilibre hormonal en fonction de ta situation. 
  • Rétablir une bonne fonction hépato-biliaire et une bonne flore intestinale en participant à une détoxification hormonale de qualité.
  • Les micronutriments, tels que les oméga-3, le magnésium, le zinc, l’iode, la vitamine D ou encore le sélénium sont des éléments essentiels à intégrer dans ton alimentation. Tu peux aussi t’aider de compléments alimentaires. 
  • La phytothérapie peut aussi être utile pour rééquilibrer ton système hormonal. Il est nécessaire de se faire aider afin d’obtenir un programme adapté à ta situation. 

 

L’équilibre hormonal féminin est fragile. Un déséquilibre du système hormonal affecte la santé et ta qualité de vie de manière générale. Un accompagnement par un professionnel est parfois essentiel pour améliorer cet équilibre. La naturopathie en fait partie. C’est une manière douce et naturelle de prendre soin de soi, de son organisme et de rééquilibrer le système hormonal dans son ensemble. Je t’invite à découvrir dès maintenant mon accompagnement en naturopathie

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Julie professeur de yoga et conseillère en naturopathie

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